jeudi 4 novembre 2010

Une autre place privilégiée pour un mentor d’y être…

Vous le savez tous, c’est quand on est malade, que ce soit grave ou pas, que l’on réfléchit sur les causes de notre maladie, surtout si nous croyons qu’à chacune d’entre elles, il y a une facette psychosomatique. Moi, je suis de ceux-là!

Vous me direz tout de suite, mais comment cela nous renvoie au mentorat ? Mais si, il y a un rapport, le voici!

Tout le monde est d’accord, la maladie vient sur notre chemin, à certaines périodes de notre vie, un peu, moyennement ou très souvent et à des degrés divers. Nous sommes tous un jour abandonné à nous-mêmes, à réfléchir sur les causes de ces symptômes si déplaisants. Eh! oui, nous sommes confrontés, que l’on veuille ou pas!

La plupart du temps, c’est à ce moment-là que nous réalisons à quel point les personnes qui sont près de nous, nous sont chères et nous aiment. C’est aussi à ce moment-là, que nous aimerions peut-être une personne qui est à l’extérieur de notre maladie, de notre problème, afin de nous conseiller, guider ou veiller sur nous. Et c’est là, où un mentor peut faire toute la différence. C’est là aussi où il peut s’introduire doucement dans notre vie, sans faire parfois trop de bruit, en étant juste une présence pour nous.

Vous me direz que ce n’est pas tous les mentors qui peuvent exercer ce rôle, vous avez absolument raison et que ce ne sont pas tous les personnes qui désirent communiquer leurs préoccupations et encore là, j’abonde. Mais une chose est certaine, lorsqu’une personne a la possibilité d’avoir un mentor à ses côtés, elle se sent déjà moins seule…